(théologien suisse, disciple de Jacques Maritain – nommé cardinal par Paul VI – rôle important concile Vatican II)
Il nous faut jeter notre espérance comme une ancre dans le cœur de Dieu, et tirer très fort sur la chaîne.
La fécondité et la beauté d’une vie dépassent tout ce qu’on peut imaginer.
Dieu ne nous trompe pas. Il tient parole au centuple
La meilleure façon de parler de Dieu, c’est sans doute le silence
Il n’y a qu’une manière de regarder le monde qui soit exacte :
le regard que Dieu lui-même porte sur le monde.
Dieu te regarde, qui que tu sois.
Il t’appelle par ton nom.
Il te voit et il te comprend, aussi bien qu’il t’a fait.
Il sait ce qu’il y a en toi, tous tes sentiments et tes pensées propres, tes goûts, ta force et ta faiblesse.
Il te voit dans tes jours de joie et dans tes jours de peine.
Il t’entoure de ses bras et te soutient
L’homme religieux est en chemin et doit être prêt à se laisser guider, à sortir de soi pour trouver le Dieu qui surprend toujours.